La Côte d’Ivoire et la RDC ouvrent une nouvelle voie touristique vers Rio 2026 lors du 2ème sommet ONU tourisme Afrique/Amériques

Au cœur des échanges lors du 2ème sommet de l’ONU sur le tourisme Afrique/Amériques, une initiative prometteuse voit le jour : la Côte d’Ivoire et la République Démocratique du Congo s’associent pour tracer une nouvelle route touristique vers les Jeux Olympiques de Rio 2026. Ce projet ambitieux vise à renforcer les liens culturels et économiques entre ces deux nations tout en mettant en avant leur potentiel touristique respectif. En mettant l’accent sur la coopération internationale, ce sommet marque un tournant dans la promotion des destinées touristiques africaines sur la scène mondiale.

Le 2ème sommet ONU tourisme Afrique/Amériques a marqué une étape significative dans le développement touristique entre la Côte d’Ivoire et la République Démocratique du Congo (RDC). Ce partenariat stratégique vise à créer une nouvelle voie touristique qui facilitera l’accès à de nombreuses initiatives en vue des Jeux Olympiques de Rio 2026. Les deux pays, avec leurs riches ressources culturelles et naturelles, cherchent à renforcer les liens et à attirer des investissements dans le secteur du tourisme.

Les opportunités touristiques de la Côte d’Ivoire

La Côte d’Ivoire, avec sa position géographique stratégique en Afrique de l’Ouest, représente une porte d’entrée pour les touristes désireux d’explorer le continent. Sa récente initiative de développer une zone touristique dans la baie de Taki, proche de San Pedro, ambitionne de couvrir plus de 1000 hectares et de générer jusqu’à 5 000 emplois. Ce projet, qui offre une gammes d’activités allant des sports nautiques aux moments de détente, incarne l’engagement du pays en faveur d’un tourisme durable qui inclus davantage les partenaires sud-américains et africains.

La RDC : un potentiel inexploité

De son côté, la République Démocratique du Congo regorge de trésors naturels, allant des forêts tropicales du bassin du Congo aux parcs nationaux classés au patrimoine mondial de l’UNESCO. La RDC cherche à se repositionner sur l’échiquier touristique mondial et à attirer des investisseurs en mettant en avant ses vastes ressources tout en préservant son écosystème. Le sommet permet de discuter des projets de développement d’infrastructures qui favoriseront la connectivité avec la Côte d’Ivoire et d’autres pays du continent.

Réouverture des frontières : un nouvel élan

La récente réouverture des frontières terrestres de la Côte d’Ivoire, après plus de deux ans de fermeture en raison de la pandémie de Covid-19, a été perçue comme une bouffée d’oxygène pour les commerçants et les habitants frontaliers. Ce retour à la normale est crucial pour le développement des échanges touristiques entre la Côte d’Ivoire et ses voisins, y compris la RDC. En effet, à travers cette réouverture, le pays espère rattraper le temps perdu et relancer ses activités économiques tout en favorisant le tourisme.

La coopération internationale au service du tourisme

Le 2ème sommet ONU sur le tourisme entre l’Afrique et les Amériques offre une plateforme précieuse pour renforcer la coopération internationale. Les acteurs des deux continents ont l’occasion d’échanger des idées, de partager des expériences et de bâtir des partenariats durables. Cette collaboration pourrait non seulement renforcer les liens culturels, mais également s’accompagner de projets innovants pour promouvoir un tourisme responsable et inclusif.

Alors que les regards se tournent vers Rio 2026, la Côte d’Ivoire et la RDC souhaitent créer un réseau de soutien qui stimulera non seulement le tourisme, mais également d’autres secteurs économiques essentiels, favorisant ainsi un potentiel de développement à long terme.

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Nouveau partenariat touristique entre la Côte d’Ivoire et la RDC

• Nouvelle voie touristique : Liaison directe entre la Côte d’Ivoire et la RDC.
• Jeux Olympiques de Rio 2026 : Opportunité de dynamiser le tourisme.
• Partenariats internationaux : Collaboration entre acteurs sud-américains et africains.
• Impact économique : Création d’emplois et développement local.
• Ressources naturelles : Valorisation des richesses touristiques ivoiriennes et congolaises.
• Réouverture des frontières : Facilitation des échanges et des voyages post-Covid.
• Promotion culturelle : Échange des savoir-faire et des traditions entre les deux régions.
• Durabilité : Initiatives pour un tourisme respectueux de l’environnement.
• Événements spéciaux : Organisation d’activités autour du sommet pour attirer les touristes.